Chasteté et soumission extrême

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il y a 4 ans
Au départ, je n’étais pas gay, ni même bisexuel. J’avais, certes, déjà joué un peu avec mon petit orifice, juste quelques sextoys de taille très raisonnable mais cela n’a aucun rapport avec l’homosexualité. Mes fantasmes portaient sur la domination féminine et la chasteté. Dans mes rêves érotiques, une très jolie Maîtresse gérait ma cage de chasteté et m’utilisait comme sextoy pour son plaisir.

Mais ça c’était avant mes folies extrêmes !

Pour ma cage de chasteté, achetée sur ABCplaisir, j’ai donc commencé à jouer tout seul. Comme cela manquait de piquant, je me suis adressé les clés par la poste. Trois jours sans libération, mon premier record, ma première grande expérience. Je n’aurai pas du faire ça.

Comme ces trois jours furent très excitants, je me suis acheté le coffre électronique de ABCplaisir. Là j’ai rapidement augmenté la durée de ma chasteté et mes plaisirs un peu fous. Au plus c’est bon, au plus on a des envies, alors je me suis honteusement lancé dans le selfbondage à défaut de trouver une Maîtresse qui veuille bien de moi. Mon petit orifice a vu la taille de mes sextoys augmenter, mes tétons ont découvert les pinces à sein, mes testicules ont rencontré un ballstretcher. Si elles m’ont fait remonter que cela fait un peu mal en descendant contre leur gré, j’adorais ces sensations de possession, de douleur contrôlée, d’étirement.

Au fil du temps, à défaut d’une jolie Maîtresse tyrannique, j’ai rencontré un homme sur Fessestivites, c’était juste pour du bondage. Je lui avais dit « surtout pas de sexe, je ne suis pas bi ni gay ». Max a respecté cette consigne et c’est comme ça que j’ai découvert la perte de contrôle contrairement au selfbondage ou au coffre électronique. Ce jeune Maître m’a fait vivre un stage de 48 heures. 48 heures de pur bonheur. Attaché en permanence nuit et jour, il m’a obligé à aller m’asseoir pour faire pipi devant lui, la cage oblige cette position. Et là, il m’a traité de femelle puis a eu l’idée de me féminiser.

Max n’avait pas grand chose comme vêtements féminins, une robe, une jupe, deux culottes et un soutien-gorge, le tout récupéré je ne sais où. Cette féminisation m’a fait une sorte de déclic, je devenais une petite salope. Pourquoi petite ? Tout simplement parce que je fait 1m60 pour 55 kilos. Il n’arrêtait pas de tripoter mes fesses qu’il trouvait très belles. « Tu as un très joli petit cul de nana » me disait Max.

Le dimanche, un de ses copains est passé le voir. J’ai eu la honte de ma vie quand il est entré. Attaché debout et bâillonné, je n’ai rien pu faire pour me cacher. Max m’a présenté comme sa petite salope en cours de dressage. Il a soulevé ma robe pour faire voir ma cage de chasteté et mon petit cul. Le mec a flashé sur moi ! ! !

Max s’amusait comme un petit fou de mon humiliation quand son copain Laurent, un vrai gay, se frottait contre moi en disant qu’il m’embrocherait bien. Il était contre mon dos et frottait son sexe contre mes fesses en jouant avec ma cage de chasteté. J’avais terriblement honte et en même temps, je me suis senti « soumise ». Quand il a glissé sa main dans ma culotte pour venir titiller mon anus je me suis dit que j’allais y passer. Son index a passé la barrière pour me fouiller et tester ma souplesse, et là, il a affirmé que je n’étais pas neuf, que la souplesse de mon petit cul d’abeille indiquait que l’endroit avait déjà été visité.

Pour avoir menti, sans retirer mes menottes, il m’a décroché et porté sans effort jusqu’à une chaise où il s’est assis avant de me coucher sur ses genoux. Je fus déculotté et fessé par ce molosse d’un mètre quatre-vingt. Ma première fessée fut un peu douloureuse mais les entraves et la position m’excitaient beaucoup. Quand il a remarqué qu’à travers ma cage, mon sexe coulait sur son pantalon, il a criait que je mouillais comme une salope. Et sans changer de position, il a repris ma fouille intime.

  • Elle est souple ta salope, passe-moi des godes qu’on la teste un peu ! A demandé Laurent.

Max lui a rapporté deux godes et deux plugs avec du lubrifiant. Pour la première fois, quelqu’un s’occupait réellement de mes fesses. Comme il n’était pas brutal, autant avouer que c’était très agréable. Il m’a branlé le cul en montant en taille, le gode de 50mm de diamètre m’a fait décoller et m’a valu des commentaires pas très élogieux. Quand il m’a posé par terre, j’étais une carpette, repus de plaisir mais épuisée. Sans aucune gêne, il a sorti sa bite en pleine forme pour se branler, je l’avais parait-il trop excité. Max est allé à sa cuisine chercher des bières, il n’était pas là pour me protéger quand Laurent a retiré mon bâillon pour que je le suce. Je ne sais pas pourquoi je n’ai pas refusé. J’ai pris sa belle verge dans la bouche et j’ai sucé mon premier mec.

  • Et bien on ne s’ennuie pas à ce que je vois ! A dit Max quand il est revenu.

Quelques minutes plus tard, je l’ai senti vibrer, sa verge est devenue plus dure encore et elle a éjaculé dans ma bouche. Laurent avait mis sa main derrière ma tête pour m’empêcher de reculer et sentir ses jets de sperme amer et salé m’a fait comme un électrochoc. J’étais un esclave, une salope soumise, j’ai continué de le sucer sans même qu’il me tienne la tête. C’est ainsi que je me suis perdu dans la perversité.

Max n’ayant pas envie de se faire sucer, il m’a retiré les menottes et offert une bière. Elle fut la bienvenue pour laver ma bouche et réhydrater la petite lopette que j’étais devenu(e). Laurent m’envoûtait rien qu’en me regardant. J’ai accepté de lui donner mon numéro de téléphone, il m’a aussitôt envoyé un texto pour que j’ai le sien.

.................

Deux jours plus tard, je l’ai vu connecté sur Fessestivites. Je l’ai contacté et la discussion c’est orienté sur ma sexualité. Il ne comprenait pas pourquoi j’indiquais « Hétéro » alors que d’après lui, j’avais une tout autre orientation sexuelle. Ne sachant que répondre, je lui ai dit que c’était sûrement l’effet des entraves et de la cage de chasteté ,que je portais depuis huit jours, lorsque nous nous sommes rencontrés chez Max. Quand il m’a proposé d’aller passer un week-end chez lui, j’ai accepté en lui disant que j’avais très peur. Il m’a promis d’être très doux et que mon dépucelage officiel avec une vraie bite, ne serait pas obligatoire si cela se passait très bien. Par contre, il a exigé que je remette ma cage de chasteté et que je reste chaste jusqu’au week-end. Pour ne pas tricher, j’ai mis les clés dans le coffre électronique.

La semaine fut longue, aussi angoissante qu’excitante.

Je me suis rendu chez lui le vendredi soir avec ma grosse valise à roulette ne contenant pas, que des vêtements. Elle contenait aussi un pack de bière et une bouteille de champagne en plus du reste..... En me voyant arriver, il m’a demandé si je partais en voyage pour avoir besoin d’une aussi grosse valise. Quand il a vu son contenu, il a rigolé en me disant que j’étais vraiment une cochonne ! On a bu quelques bières fraîches qu’il avait dans son réfrigérateur avant de rentrer dans le vif du sujet : mon retard !

J’avais d’après lui dix minutes de retard, cela méritait une punition. J’ai du me déshabiller devant lui. C’est drôle comme c’est difficile à faire même si on sait pourquoi on est venu. J’ai dût m’allonger sur ses genoux pour recevoir ma fessée. Le scénario a été quasiment le même que chez Max, après m’avoir tanné les fesses, il a entrepris de revisiter mon intimité avec ses doigts très taquins. La « zone étant détendue », il m’a mis un plug de 40mm dans mon orifice assoupli et m’a envoyé au piquet comme un gamin. Je devais garder les mains sur la tête et serrer les fesses, pour ne pas le perdre pendant qu’il buvait une bière.

J’ai bien compris au bruit qu’il se déshabillait. J’en ai eu la confirmation quand il m’a ordonné de venir lui présenter mes excuses avec ma bouche de petite salope. Il bandait déjà bien, quand, à genoux devant sa chaise, j’ai commencé à le sucer. Au moment où j’ai compris qu’il allait me baiser, je lui ai demandé de me mettre les menottes et de me bander les yeux pour m’aider mentalement. Laurent a compris ma gêne et a accepté. Il ne m’a pas conduit à sa chambre, il m’y a porté en me mettant sur son épaule !

Après m’avoir jeté sur le lit, en fin limier il a remonté mes jambes vers la tête du lit et les a attachées avec une corde. Je n’étais donc plus volontaire mais une victime enlevée par un ravisseur. Couché sur le dos avec les jambes presque au-dessus de ma tête, mes fesses ne pouvaient pas être plus exposées. Avec douceur, il a retiré le plug et a ajouté du lubrifiant avant de m’insulter, en me disant des tas de choses humiliantes. Son but était de me faire transcender avec ses mots pendant qu’il jouait des doigts « en moi ».

Si bien que quand il s’est positionné pour me dépuceler, j’étais déjà « bien ouvert ». Quand j’ai senti son gland s’appuyer sur mon anus, j’ai dit « non stop, je ne veux plus ». Il ne m’a pas écouté et, toujours avec beaucoup de douceur a continué de jouer avec son gland à « j’entre, je sors » pour me rendre dingue, pour me donner envie de lui. Si bien que quand il a oublié de « ressortir » pour s’enfoncer vraiment en moi je n’ai éprouvé quasiment que du plaisir. La douleur était infime contrairement à l’agréable sensation de la possession. Et puis il a accéléré le mouvement....

Et là, je me suis perdu. Perdu dans la honte Perdu dans l’envie d’encore Perdu dans les délicieuses sensations

Et là j’ai embrassé un homme pour la première fois. J’ai continué de me perdre dans ce baiser, fougueux, sauvage, ravageur pour ma personnalité et ma sexualité. Nous n’avons pas mangé ce soir là. De câlins en bisous, de fellations en sodomies, je me suis offert avec Amour à un homme. Ce n’est que le matin que la honte m’a rattrapé. Une bouffée de honte rétrospective montait incendier mes joues j’en suis sûr.

Au retour des toilettes, il m’a happé dans ses bras et roulé une pelle avant de diriger ma tête vers son sexe en pleine forme. Devant me trouver trop soft, il a enjambé ma tête pour la coincer entre ses cuisses. Sa main a saisi mes cheveux je suis redevenu(e) une soumise. Une sourde et honteuse excitation m’a submergé à nouveau, c’était comme si j’avais besoin pour être bien de me heurter à ses gestes fermes, à sa f o r c e. Prisonnier de ses cuisses musclées, je n'étais qu'une bouche, qu'une écluse s’ouvrant à SON désir, SES envies. Je planais alors sans honte, sans la crainte de ce qui n’allait pas tarder à arriver. Cela devenait alors pour moi, une délicieuse communion, que de sentir ainsi ma bouche nourrie directement à l'organe majestueux de ce mâle me dominant, m’envoûtant totalement.

..........

Pendant ce week-end ou j’ai perdu mon âme d’hétéro, ce qui est fou, c’est que j’ai touché le fond de l’inadmissible avec ravissement. J’ai aimé ses pieds, son anus que j’ai léché avec passion tout comme il a fait avec le mien. J’avais parfois besoin des menottes, pour mettre une barrière à ma morale. Au plus il m’obligeait, au plus je me libérais. Il a tenu le dimanche soir à garder les clés de ma cage de chasteté, en me disant que c’était parce qu’il voulait être sûr de me revoir. Laurent n’avait pas besoin de ça, j’avais un mal fou à partir et, en bas de ses escaliers, j’avais presque les larmes aux yeux et déjà envie de revenir.

UN MOIS PLUS TARD

Mon sexe n’était sorti de sa cage de chasteté que pour tes toilettes approfondies en sa présence. Il avait progressivement perdu de son intérêt pour moi, le sien me suffisait. Mon plaisir se résumait à lui offrir ma bouche, mon corps et mes fesses avec lesquelles j’arrivais à jouir autrement.

J’ai acheté une autre cage de chasteté très aérée en métal, une « chastity total » permettant d’avoir une bonne hygiène et un confinement réellement « total ». Cette cage est très courte et ne permet pas réellement à la verge de grossir, le tube est trop court. Je l’ai offerte à mon Maître, en lui demandant s’il acceptait de me laisser les clés, pour que je puisse l’essayer. Il a refusé et m’a dit que je l’essaierai chez lui. Il a adoré cette cage et dit que cela me faisait un clito.

Comme je l’ai supportée sans problème, la chastity total a été adoptée et moi aussi !

Il m’a donné un double des clés de chez lui. Cela me permettait d’arriver avant lui du travail, de préparer la bouffe, de faire un peu de ménage ou de lessive. Cela me permettait aussi d’être en position 6 devant la porte, quand ce n’était pas d’autres positions parfois bien plus humiliantes comme, à quatre pattes fesses en l’air avec un plug ou autre dans le cul. Il arrivait parfois avec quelqu’un, je ne devais pas bouger et attendre qu’il m’appelle. C’était parfois pour faire « sa pute » et tailler une pipe à un autre mec. Même si je détestais quand c’était un autre que lui, je le faisais avec conviction pour LUI faire plaisir.

Jusqu’à cette fameuse soirée où je me suis mis tout seul bien plus qu’une corde au cou, il n’avait jamais prêté autre chose que ma bouche. Je voulais lui offrir ma chasteté définitive, et, à cette occasion, il a organisé une soirée avec quelques amis à lui. Moi....., ayant coupé toutes mes relations pour cet Amour inconsidéré, je n’en avais plus des amis.

Je me souviens avoir pleuré quand, devant son cercle d’amis, j’ai volontairement mis de la colle « loctite » dans la serrure de ma cage de chasteté avant de briser la clé. Je lui offrais ma vie de cette façon. Il a cassé la deuxième clé et m’a embrassé devant tout le monde avec fougue. Le champagne a coulé à flot ce soir là, et pour fêter ça dignement, il m’a offert à ses amis.

Je les ai tous sucés, six d’entre eux m’ont sauté sur la table ! J’étais allongé sur le dos entre les flûtes à champagne et des bières pour d’autres et servait d’assiette à chips en même temps qu’il me baisait à tour de rôle. La soirée c’est éternisé, ma langue a beaucoup servi ce soir là de la pire des façon. Laurent semblait fier de faire voir que j’étais une lope bien dressée, alors pour lui faire plaisir, je faisais mon maximum pour lui être dévoué. L’humiliation et son plaisir me galvanisaient.

Laurent a commencé à se lasser de moi et à sortir SANS moi. J’ai commencé à être jaloux par peur de le perdre. Un matin, quand il est rentré, j’ai vu qu’il était dans une colère noire. Il a rien voulu me dire, hormis que je n’y étais pour rien, et m’a renvoyé chez moi.

Il m’a laissé attendre quinze jours sans me donner de nouvelle, il ne se connectait même pas sur Fessestivites. Chaque jour mon angoisse montait un peu plus, je commençais à déprimer. Un texto est arrivé, il était plus que bref : « RDV chez moi à 18 h, ne prends rien ce n’est pas la peine ».

Il avait une tête de déterrée quand je suis arrivé. Sans rien dire il m’a désigné un papier sur la table. C’était le résultat d’un test HIV et il était positif.

Devant mon émotion, Laurent m’a rassuré en me disant qu’il ne me l’avait pas transmis. Mon Maître d’Amour s’est mis à pleurer et à me raconter. Il était allé jouer ailleurs, un encu... l’avait baisé dans un backroom en lui faisant croire qu’il avait mis un préservatif. Il ne s’en était rendu compte qu’après à cause de l’obscurité du lieu. Même s’il lui avait démonté la tête, cela ne changeait rien ce bâtard l’avait contaminé.

Laurent voulait me rendre ma liberté, j’ai refusé. C’était il y a cinq ans, je suis toujours négatif, on fait attention. Croisons les doigts pour qu’un jour on trouve une thérapie permettant de stopper cette saloperie.

FIN

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

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